Le Valet
LE VALET
Comme je suis triste valet faussé par l'amour
Où les galets rouge en témoignent mes glamours
Á l'entrée de ce grand et magnifique palais
Ici repose, celui qui n'aimera plus jamais
Ces yeux buttant contre mon âme me quittant.
D'un dernier regard vers le ciel
Les yeux de larmes rougies dégoulinant
En levant sa main d'un geste frêle
Croyant voir le vrai amour vivant.
Et sa main tremblante retomba
De cet amour gris et terne
Tristement il en mourra...
Texte: Yoann Bouchard
Site montage: Grafme
Date de dernière mise à jour : 05/04/2020
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